Posté: 19 mai, 2016
Présentation du matin - PA 2015
Dieu marche avec nous ( Rebecca Osiro, Kenya et Tom Yoder Neufeld, Canada )
Le doute dépend du contexte. L’expression, jakol kudho (celui qui enlève les épines) a été formée avec kiawa pour souligner le positif, ainsi que pour gommer les aspects négatifs du doute. Jakol kudho s’applique littéralement à quelqu’un qui enlève l’épine qui a percé le pied du voyageur. En tant que concept, ce terme s’applique à un aide, un assistant ou un compagnon.
Le doute raffermit nos convictions ( Tigist Tesfaye Gelagle, Éthiopie )
La foi, c’est comme marcher avec des doutes et des convictions. J’aime profondément la tradition africaine [dont nous a parlé Rebecca]. Nous, les jeunes, dans notre cheminement avec Dieu, nous sommes confrontés à ces animaux sauvages et ces reptiles venimeux que sont les doutes. En effet, malgré tout leur courage et leurs efforts, il est impossible aux voyageurs de réussir à échapper aux épines.
Les enfants de la lumière ( Nancy Heisey, États Unis )
Puissions-nous entrer dans le cœur pastoral de Paul et de ceux qui avaient entendu son appel, de sorte que notre lumière en tant qu’enfants de la Lumière soit vue là où nous vivons.
Soldats dans l’armée du Dieu vivant ( Remilyn Mondez, Philippines )
Ne nous attardons pas sur la mort de Jésus, mais réjouissons-nous aussi de la victoire de sa glorieuse résurrection. Gardons nos yeux fixés sur lui, en qui nous trouvons la guérison. Il est l’auteur et le consommateur de notre foi. Combattons le bon combat de la foi en étant des soldats vaillants et audacieux.
En Christ, nous sommes libre d’aimer ( Shant Kunjam, Inde )
Nous avons été libérés pour un style de vie royal, divin d’amour et de service. La liberté en Jésus-Christ est une liberté qui nous invite à manifester dans nos vies personnelles et communautaires le caractère de Dieu en Jésus-Christ, et à partager nos dons et talents, c’est-à-dire à nos vies, par une entraide empreinte d’amour.
Repentance et pardon ( Kevin Ressler, États Unis )
C’est toujours un défi d’équilibrer autonomie et communauté. Quelquefois, il semble plus naturel de dire ‘autonomie par opposition à communauté’. Mais c’est notre diversité qui nous permet de mûrir. Bien que nous ne découvrions notre autonomie qu’en découvrant notre différence avec les autres, elle n’a aucune valeur si nous ne faisons pas passer nos priorités individuelles après celles de la communauté en l’enrichissant grâce à nos dons uniques.
L’Église doit s’intéresser à la mission globale ( Hippolyto Tshimanga, Canada )
L’offre de Jésus de prendre part à son Royaume est un don à accueillir avec gratitude. Et la gratitude ("hakarat ha’tov" selon la traduction hébraïque) évoque le fait de reconnaître tout ce qui nous a été donné, et à en rendre grâce. Soyons reconnaissants à Dieu pour l’offre de son Royaume, car la reconnaissance est contagieuse.
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